Bois en souffrance

Rien au monde n’est perdurable; ainsi le présent fait place au futur.
Course infinie du jour et de la nuit.
Cet éternel balancier nous rappelle que le présent fait place au futur, et l’effacement au renouveau.
L’ ambiguïté du mot “souffrance” interroge; il veut dire : douleur mais aussi attente.
Cette œuvre est un temps d’arrêt, une trêve, une pause nécessaire à se souvenir que notre départ est inéluctable.

2011/cristal/dimensions variables.

 

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